Chantons sous la pluie, Gene Kelly, Ginger Rogers et Fred Astaire, le chapeau haut-de-forme, la veste queue-de-pie, Broadway, les années 1950... Dans notre imaginaire collectif, encore aujourd’hui, si l’on nous parle de claquettes américaines, on pense immédiatement à cette époque.
C’est vrai, cela reste une de nos références et de nos bases à tous – claquettistes – mais il y en a tant d'autres – Jimmy Slyde, Gregory Hines, les Hoofers… Et c'est ce mélange des genres et des techniques qui rend notre discipline si riche et vivante. Elle a, fort heureusement, évolué avec son temps !
Les courants américains des dernières décennies amènent les claquettes – le Tap Dance – dans des univers musicaux et rythmiques bien plus variés, inscrivant la discipline dans une nouvelle modernité qui lui va comme un gant.
Ce sont cet anachronisme et ce mélange des genres qui nous emballent.